À une remarque du journaliste Florent Plante, du journal Le Soleil, l'ancien gardien de phare Lauréat Leblanc répondait :
"À tout prendre, je préfère le rocher à la vie mécanique des villes. J'ai vécu le travail à la chaîne dans une grande ville, à Montréal. Là aussi ça prend du monde spécial pour survivre à la pollution de l'air, au bruit et pour répéter les mêmes mouvements abrutissants pendant toute une vie".
Il raconte ensuite dans cet extrait d'une série de cahiers dédiés au Rocher-aux-Oiseaux, publiés en 1978, un des événéments qu'il a vécu du 23 au 29 décembre 1968, alors que le phare n'allumait plus...
Source: Collection du Centre d'archives régional des Îles, Florent Plante, Journal Le Soleil, 7 septembre 1978 |