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vendredi 13 septembre 2024

Éphéméride... 13 septembre - Azade Arseneau 1869-1924




Né le 12 juin 1869 et baptisé à Havre-aux-Maisons, Azade est le fils d’Adèle Daigle (IPÉ) et Nelson (à Frédéric à Isaac à Antoine à Abraham).  

Le 12 janvier 1892, à l’église St-Pierre de Lavernière, il épouse Marie Gaudet, fille d’Héloïse Boudreau et de Félix Gaudet. Celle-ci est la nièce de l’épouse de Nectaire Arseneau qui porte le même nom qu’elle. Nectaire Arseneau, premier maire de L’Étang-du-Nord, se trouve également l’oncle d’Azade et sera d’ailleurs un des témoins à l’enterrement de son frère Nelson, à L’Étang-du-Nord, le 7 novembre 1899. 

Le 1er février 1897, Azade Arseneau est élu maire de la Municipalité de L’Étang-du-Nord. La Municipalité couvrait à cette époque le Barachois (Fatima), jusqu’en 1959, et Cap-aux-Meules, jusqu’en 1949. Azade Arseneau occupera les fonctions de maire de L’Étang-du-Nord durant plusieurs années, en 1897, 1902 et 1912. 

En 1912, Azade se présente au parti conservateur contre Patrick Peter Delaney qui gagne ces élections provinciales, mais se désiste en faveur de Joseph-Édouard Caron.  

Camping d’une autre époque à l'Ile Brion.
Source : AC1-S39  Jean-Guy Poirier







Azade Arseneau décède très jeune, soit à 55 ans, le 13 septembre 1924. Éric Arseneau et Jean-François Solomon seront témoins à son enterrement à L’Étang-du-Nord. 

Sur la photo d’époque ci-contre, on reconnait sa femme et ses plus jeunes enfants (sur quinze), les quatre nés entre 1913 et 1919 : Clarey, Thelma, Hezel et Georges. Son fils Clarence, dit Clarey, deviendra le premier Madelinot à exercer le métier de plombier de façon professionnelle après des études à Lévis Lauzon et sera le premier maire de la Municipalité de Fatima. 




Références : 
NAUD, Chantal, Deux siècles d'histoire 1793-1993, Éditions Vignaud, 242 p. 
Fonds AP24 Dennis Boudreau. Dictionnaire généalogique des familles des Îles-de-la-Madeleine, mise à jour 2021
Collections du Centre d'archives régional des Îles



     


jeudi 29 octobre 2020

Histoire d'aréna et de Leslie...

ARÉNA DE CAP-AUX-MEULES, ÎLES-DE-LA-MADELEINE


Le Centre d'archives régional des Îles s'est intéressé à l'histoire de la construction de l'aréna de Cap-aux-Meules après plusieurs demandes d'information la concernant.  

Pour en savoir plus sur ce bâtiment à l'architecture originale, plusieurs sources d'archives furent dépouillées et personnes furent rencontrées durant l'été 2020. Nous nous sommes limités à la première partie de l'histoire de l'aréna, celle de l'époque des Leslie. 


BREF HISTORIQUE SUR LES LESLIE

Frank Willoughby Leslie, fils de William Gasper Leslie II et Alice Burke, est né à Cap-aux-Meules le 6 novembre 1883 et est baptisé le 27 février 1884 à l'église St-Luke. Il est décédé en 1964 à Halifax. Sa famille apparait sur le recensement de la paroisse de L’Étang-du-Nord, en 1891, alors qu’il a 9 ans. Son père William fut un des premiers et des plus grands entrepreneurs des Îles. Les Leslie sont originaires de Württemberg, en Allemagne. William Gasper Leslie II eut une très longue lignée de par ses deux mariages. Sa première épouse est Victoire Boudreau (à François et Suzanne Turbide). Ils se marient à l'église St-Luke le 1er janvier 1876. Devenu veuf, il épouse Alice Burke (à John et Jane Pagan).

L’entreprise sous le nom de William Leslie & co délivrait les contrats postaux pour le Gouvernement, tenait des magasins de marchandises d’alimentation, de médicaments et de la fourniture pour les pêcheurs et ses propres usines de pêche établies sur pratiquement toutes les Îles. Grâce à l’influence du cousin de son père, le député Robert Jamieson Leslie (fils d’Henry Godfrey Leslie)[1], le nom de sa famille est resté associé à la toponymie de nombreuses entités : Bureau de poste Leslie, Leslie Cove (anse située à Cap-aux-Meules). L’Anse Leslie, sur le côté est du port fut nommé en son nom, de même que le cap qui domine le port. La photo ci-haut, montre les installations près de la résidence des Leslie à Cap-aux-Meules. 

William Casper Leslie II est décédé à Halifax en 1924 et fut inhumé au cimetière anglican de Cap-aux-Meules. Après son décès, c’est son fils Frank Willoughby Leslie, qui reprit les rênes de l’entreprise.


Pierre tombale située au cimetière St-Luke à Cap-aux-Meules. Photo Jean-François Petitpas.



[1] Robert Jamison Leslie fut député des Îles-de-la-Madeleine et partenaire dans Leslie, Hart & Co., ainsi qu’actionnaire de la Magdalen Island Steamship Co., Ltd. Il périt lors du naufrage du Lunenburg en 1905.

Quand Roland Chalmers Leslie [2] est né à Cap-aux-Meules, le 8 novembre 1912, son père Frank avait 29 ans et sa mère Isabel St-Clair Stewart, 24 ans. Roland Chalmers a épousé Tena Benita Buck le 17 août 1937 dans sa ville natale. Ils ont eu dix enfants en 17 ans. Il est décédé à Dieppe, au Nouveau-Brunswick, le 8 mars 2000, à l’âge de 87 ans.

[2] Le nom de Chalmers est à l'origine Chambers dans les registres, en l'honneur du Révérend Chambers. Une recherche du généalogiste Dennis M. Boudreau permet de retracer ces modifications de noms ainsi que l'origine des Chambers.

______________________________________________________________

Nous en savons plus sur l’histoire ayant conduit à la construction de l’aréna, en discutant avec les enfants de celui qui sera le contremaître principal des travaux : À la demande soutenue de son fils Roland Chambers [2] (nommé communément Bunny par les anglophones des Îles et prononcé Banney par ses amis francophones), Frank W. Leslie fournit les fonds nécessaires à la construction d’une première aréna aux Îles. Ce financement n’est venu qu’après un défi lancé à son fils, de trouver un constructeur aux Îles.

Bunny est commis voyageur et, comme les autres membres de la fratrie, n’obtient pas plus de faveurs de son père qui les élève sans gâteries. Raymond F. Gaudet, ami tenu en très haute estime par Bunny, fut désigné pour ce travail. Son expérience de construction aux Îles et dans des chantiers d'Halifax avec un de ses oncles, Harold Verge, pesait dans la balance. Mais c’est une mémoire exceptionnelle et sa grande capacité d’analyse qui le rendait apte à relever un tel défi. Après une simple visite d’arénas similaires en Nouvelle-Écosse, Raymond F. Gaudet conçoit les plans sur une grande table de la maison. 

La construction presque entièrement faite de planches doit être érigée en l’absence de toute machinerie de levée. Raymond F. Gaudet effectue lui-même les calculs de niveau de sol, des dimensions des socles de béton sans l’aide d’arpenteur ou d’outils modernes de calcul. Les arches sont directement bâties à terre, des planches sciées manuellement avant d’être montées les unes à la suite de l’autre pour constituer le toit. On aurait sans doute pu entendre une mouche voler le jour de la levée des trois premières arches. Raymond F. Gaudet a pu soupirer de soulagement après l’opération qui consistait à planter trois longs poteaux et y installer un palan couché vers la route principale.

Monsieur Gaudet fut par la suite responsable de la construction du bâtiment et de l’installation et l’entretien de la Gorton Pew. Son talent est tel qu’il parcourt les États-Unis et le Canada dans le cadre de ses fonctions dans l’entreprise. Son fils dit détenir encore une coupure de journal montrant son père recevant un diplôme honoris causa en ingénierie, alors que son père, né en 1912, n’a pu suivre qu’une 5e année d’études. La correspondance reçue ensuite par son père sera souvent suivie du titre d’ingénieur.

Outre l’aréna, l’usine de la Gorton Pew et les premiers bâtiments situés sur la Place des gens de mer, Monsieur Gaudet a également construit des bâtiments encore existants comme le premier édifice du Ministère des Transports du Québec,  le garage Irving et de nombreuses maisons aux Îles-de-la-Madeleine.


UNE CONSTRUCTION HORS DU COMMUN AU CŒUR DE CAP-AUX-MEULES



UNE ÉQUIPE SUPERVISÉE PAR RAYMOND F. GAUDET (À Félix)

 


1.       ?

2.       Léo Petitpas

3.       Augustin dit Dicky Gaudet (frère de Raymond)

4.      Possiblement Pierre D. Leblanc

5.       Flavien Gaudet

6.       ?

7.       ?

8.       Ephrem Gaudet 

9.       Gérard T. Boudreau

10.    Edwin Huet

11.    Alphonse Boudreau

12.    Raymond F. Gaudet, contremaître principal

13.    Cyrice Cyr

14.    Raymond D. Cyr

15.    ?

 

 Si des personnes reconnaissent les inconnus de la photo, merci d'en informer le Centre d'archives régional des Îles. Ceux surlignés en jaune ne sont pas identifiés de façon définitive.


Le 19 janvier 1954, ouverture de l’aréna à Cap-aux-Meules.

C’est avec une partie de hockey de ligue intermédiaire mettant en compétition « Les Flots » de L’Étang-du-Nord et l’équipe « Notre-Dame » de Fatima, que l’aréna est inauguré. – La Boussole, janvier ou février 1954, p.6




Le bâtiment put également servir à la tenue de l’événement du Bicentenaire acadien réunissant des milliers de personnes pour la reconstitution historique (pageant) présentée le 31 juillet 1955.

Le bâtiment fut sauvé in extremis un hiver, vers 1961, lors de l’incendie de l’hôtel Abeerdeen (nommé aussi Hôtel Gaudet) ; le bardeau d’asphalte côté sud était en partie fondu. L’usage d’une souffleuse à neige a protégé l’édifice. Cet incendie a détruit plusieurs bâtiments du village de Cap-aux-Meules.

Photo: Collection Alpide Cyr

Vue du chemin du Quai, vers la fin des années 1950, à Cap-aux-Meules, en face duquel fut érigé l’aréna.

On distingue au centre le Mistral devenu bureau de C.T.M.A. ainsi que l’ancienne Banque Nationale, située en avant de l’aréna. Le restaurant Paul Bourque est sur le coin gauche. À droite de la rue principale l’Hôtel Aberdeen qui fut détruit par le feu en 1961.

À droite de la sortie du chemin du Quai se trouve la première centrale électrique de la Coopérative d’électricité des Iles et, un peu plus loin, le garage Clarke ainsi que les réservoirs de pétrole de Esso Impérial. Leur présence n’est pas étrangère au fait que l’un des fils de Frank Willoughby, soit Gerald Stewart Leslie, était agent pour l’Imperial Oil.


 VOCATION DU BÂTIMENT APRÈS 1965

Une partie du bâtiment servit de loyer et de station de service de taxi pour Antoine Vigneau. Durant les années 1970, il abritait l’hôtel de ville de Cap-aux-Meules, qui avait racheté l’édifice mis en vente par le Syndic des Leslie en 1965.  

  

PROJET DE REVITALISATION EN 2011

Des plans de revitalisation de la rue Principale de Cap-aux-Meules ont permis en 2011[3], de maintenir l’usage du bâtiment pour des activités minimales de conservation jusqu'à la démolition ultime en octobre 2020. Le Centre d’archives régional des Îles a limité ses recherches historiques aux années reliées au propriétaire initial, Roland Chalmers dit Bunny Leslie et aux efforts déployés par les ouvriers dirigés par Raymond F. Gaudet, un ingénieur-né, pour une construction rurale exceptionnelle.

 


[3] Le Radar, 15 décembre 2011

mercredi 29 août 2018

Éphéméride...29 août : Premières classiques annuelles de courses de chevaux à Havre-aux-Maisons

Les courses de chevaux ont toujours occupé une place de choix dans les loisirs desMadelinots... Un petit clin d'oeil aux compétitions de 1965 relatées dans le journal Le Madelinot:


29 août au 26 septembre 1965:

Au Parc Municipal de Havre-aux-Maisons, le 29 août 1965 , les coursiers des Iles se disputaient les premières classiques annuelles. High Pat Girl, de M. Cyrus Dunn, conduite par M. Arnold Delaney remportait les honneurs du "DERBY PARC MUNICIPAL", emblème du championnat pour le TROT.

Mighty Torrid, de N.-A. Gallant, se classait premier, dans la course "L'ARCHIPEL" et ainsi,
remportait le championnat des AMBLEURS. 

LE STAKE: MIGHTY TORRID, une nouvelle course en 1965, était mérité par le cheval : " LOWELL SPENCER" , propriété de M. Léger Gaudet , habilement conduit par M. Gérard Aucoin.

Enfin, Wenda J, jeune jument de M. Henri Marcoux, remportait le Free F or All Junior.


jeudi 26 juillet 2018

Éphéméride... 26 juillet - Hommage Oscar Gaudet, surnommé fondateur de la téléphonie aux îles

Publicité parue en août 1966 dans le journal Le Madelinot.
26 juillet 1980: 

Des confrères de travail et contracteurs soulignent la longue carrière de Monsieur Oscar Gaudet dans la téléphonie des Îles, lors d'une soirée au restaurant Le Clair de Lune et la Légion Canadienne. 

Comme l'indique le journal Le Radar de l'époque, M. Oscar a commencé sa carrière dans la téléphonie sous l'égide du célèbre Jos LeBourdais en 1933. De 1935 à 1945, il est dans l'aviation, RCAF, à Montréal et ailleurs. Il s'occupe là aussi de téléphonie et de télégraphie. Son rêve fut d'aller en Europe mais cela ne lui a été jamais possible. À Montréal, il épouse Sarah Semple, une écossaise avec qui il aura trois enfants: Carol Ann, Donna Gail et Michel. En 1946 il revient aux Iles avec son épouse et ses trois enfants et débute son travail au ministère des transports; c'était le temps du télétype, et des premiers appareils téléphoniques. En 1960, avec la mise sur pied de la compagnie Les Télécommunications des Iles, deviendra plus tard Télécommunications de l'Est et qui sera ensuite vendue à Télébec Ltée. il poursuit une carrière en téléphonie qui le mènera à l'année 1980.

Référence: Le Radar, 30 juillet 1980 p.2


vendredi 25 mars 2016

Éphéméride... 25 mars - Coop L'Unité de Lavernière


25 mars 1943 :

Fondation de la Coop l'Unité de Lavernière. L'article mentionne quelques-uns des premiers membres ayant signé leur part sociale et donne la composition du conseil d'administration en 1969.



Source: Centre d'archives régional des Îles
Le Madelinot, vol 4, no 5, 30 mars 1969, p. 8_Liste de fondateurrs

lundi 29 juin 2015

Éphéméride... 29 juin - Fondation du Club social Lions Internatinal des Îles en 1985

Roméo Cyr, 1er président du Club Lions International des Îles
29 juin 1985:   

À la cafétéria de la Coopérative de Gros Cap, 39 Madelinots étaient reçus à titre de membres fondateurs du nouveau club LIONS INTERNATIONAL. Le club des Iles de la Madeleine était parrainé par celui de Saint Anaclet, (village près de Rimouski) et la soirée était présidée par M. Victor Lepage, président du club de Saint Anaclet de Lessard. Plusieurs invités spéciaux, dont des maires des Iles, rehaussaient de leur présence cet événement.

Les premiers membres du club Lions International des Îles sont respectivement:  Roméo Cyr, à la présidence, Elie Chevrier, 1er vice-président, Octave Bourque, 2e  vice-président, Yvon Aucoin, 3e vice-président, Gérard Leblanc, secrétaire, Léonard Lapierre, secrétaire, Arthur Arseneau, animateur, Jean Paul Lapierre, chef du protocole, Richard Cormier, Marcel Gaudet, Michel Leblanc et Ghislain Miousse, directeurs.

mardi 11 novembre 2014

Généalogie des Gaudet - Un mariage double il y a 220 ans...

vendredi 3 mai 2013

Éphéméride... 03 mai - La pièce Évangéline dirigée par Rosaire Vigneault en 1969


Source: Centre d'archives régional des Îles,
Fonds Rosaire Vigneault AP10
03 mai 1969 :   

Succès du spectacle Évangéline (pièce de Rose-Délima Gaudet, direction artistique Rosaire Vigneault).

mercredi 5 décembre 2012

Généalogie des Carbonneau aux Îles

Le premier Carbonneau s'installant aux Îles est Jean-Baptiste (à Jean-Baptiste, à Joseph à Jacques) de Berthier-sur-Mer. Il épouse Clémentine Corriveau (à Jean et Angèle Nadeau) le 10 janvier 1859 et s'établit aux Îles avec 5 de ses enfants nés à Berthier entre 1859 et 1867, et continue la lignée des Carbonneau avec 8 autres enfants à Havre-Aubert entre 1870 et 1881:
  1. Clémentine-Cléophée, née le 21 novembre 1859 mariée à Havre-Aubert,3 février 1880 à Cyrille CHIASSON (Jean-Joseph & Anne Boudreau).
  2. Télésphore, né le 23 novembre 1861 marié à Bassin, 29 novembre 1888 à Mathilde DESJARDINS (André & Henriette Turbide).
  3. Albertine, née le 20 décembre 1864  mariée à Havre-Aubert, 29 avril 1889 à William Andrew REID (Peter Anderson & Barbara Cassidy).
  4. Eugène, né le 7 Aug 1865; marié à Bassin, le 24 Jan 1889 à Marie-Anne – “Mariette” CORMIER (Gilbert & Mélanie Boudreau).
  5. Marie-Azilda, née vers 1867; décédée à l'âge de 2 ans et 4 mois.
  6. Joseph-Honoré-Esdras, né à Havre-Aubert, le 28 juin 1870; marié à Bassin le 17 janvier 1905 à Marie – “Isabeth/Élisabeth” CORMIER
  7. Marie-Exilda, née à Havre-Aubert,le 14 janvier 1872 mariée à Havre-Aubert,en janvier 1902 à Paulette CYR
  8. Jean-Clodomir, né à Havre-Aubert le 1 mars 1874 marié à Havre-Aubert, en janvier 1902 à Suzanne BOUDREAU (Samuel & Apolline-Eulalie Gaudet).
  9. Angèle-Eudoxie, née à Havre-Aubert le 17 mai 1876, devenue le 27 décembre 1901 Soeur Ste-Marthe-de-Béthanie, CND [Soeur de la Congrégation Notre-Dame].
  10. Edmond-Victor-Hormidas, né à Havre-Aubert le 3 janvier 1878; marié à Bassin, le 25 novembre 1903 à Louise-Éliosa CHEVRIER (Jean-Procule & Agathe Vigneau).
  11. Henriette-Donalda, née à Havre-Aubert le 27 Nov 1879 mariée à Havre-Aubert le 2 septembre 1902 à Joseph-William ARSENEAU (Jean-Nelson & Adélaïde – “Adèle” Daigle).
  12. Marie-Arméline – “Hermélia”, née à Havre-Aubert le 28 octobre 1881, mariée à Havre-Aubert le 27 Sep 1906 à Joseph-Elzéar CORMIER (Gilbert & Marie-Lédée Bouchard).
Source: Centre d'archives régional des Îles,
Fonds Pauline Carbonneau, AP11
Pierre-Cornélius Carbonneau, né au Havre-Aubert le 27 juin 1905, dont une partie du fonds Pauline Carbonneau au Centre d'archives régional des Îles est composé de ses archives, est le fils de Jean-Clodomir (à Jean-Baptiste). Il apparait ici avec une de ses soeurs, soit Julienne, née en 1914. La photo date de 1927.

 

Références :
Béchard, Paul. "Cousins de la grande terre" paru dans L'Hameçon, décembre 1977, vol 4 no. 3, Fonds AP11
Boudreau, Dennis. Dictionnaire généalogique des familles des Îles 1760-1948, Société de généalogie de Québec,contribution no 96 CD, 1003